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(Per)versions latines / Latin (per)versions

Venez donc prendre le café chez nous

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(Per)versions latines / Latin (per)versions

Venez donc prendre le café chez nous

Dans une petite ville de province italienne vivent trois sœurs riches et célibataires, élevées dans les meilleures traditions catholiques et bourgeoises par leur père qui vient de mourir. Un employé de l'Enregistrement qui a décidé de « faire une fin », pense que le mariage avec l'une d'elle serait une excellente solution. Sous prétexte d'aider au réglement de la succession, il s'introduit dans la maison qui, à part le père, n'a jamais connu de présence masculine. Les sœurs l'adoptent d'autant plus facilement qu'elles sont attirées par les « choses » du sexe. Il en choisit une, l'épouse, et...
4 novembre 2000, 10:00
Centre Rabelais

Fiche Technique

PaysItalie
Année de production1970
Durée02:20
Catégorie(s)Fiction
ScénarioAlberto Lattuada, Adriano Baracco, Tullio Kezich, Pietro Chiara, d'après le roman La spartizione de P. Chiara
ImageLamberto Caimi
MontageSergio Montanari
MusiqueFred Bongueto
Son
Interprète(s)Ugo Tognazzi, Francesca Romana Coluzzi, Milena Vukatic, Angela Goodwin, Jean-Jacques Fourgeaud, Valentine, Francesco Rissone
Production
DécorVincenzo del Prato
VersionVOSTF

Réalisateur

Réalisateur Lattuada Alberto

Alberto Lattuada

Né à Milan en 1914, mort en 2005. Il travaille dans les années trente comme architecte et photographe, écrit des scénarios pour Soldati et Poggioli puis débute comme réalisateur avec Giacomo l'idealista (1943). Après la seconde guerre mondiale ses films, Le bandit (1947), Senza pietà (1948), Le Moulin du Pô (1949), s'inscrivent dans le courant néo-réaliste. Il alterne films de commande et oeuvres plus personnelles : Il cappotto (1952), La spiaggia (1954). Il réalise des films de genre dans les années soixante avec L'imprevisto (1961) et Mafioso (1962), révélant de jeunes actrices, comme Giulietta Masina ou Catherine Spaak (Les Adolescentes, 1960). Il revient à un cinéma plus mélodramatique avec La cicala (1980). Il publie des poèmes et un livre de photographie. Président et co-fondateur de la Cinemathèque italienne, il réalise pour la RAI un Cristoforo Colombo en quatre parties (1985) et en 1988 une mini-série intitulée Fratelli.