Confession d'un commissaire de police au procureur de la république
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Pays | Italie |
Année de production | 1971 |
Durée | 02:28 |
Catégorie(s) | Fiction |
Scénario | Damiano Damiani, Fulvio Gicca Palli, Salvatore Laurani |
Image | Claudio Ragona |
Montage | |
Musique | Riz Ortolani |
Son | |
Interprète(s) | Franco Nero, Martin Balsam, Claudio Gora, Marilu Tolo |
Production | |
Décor | |
Version |
Réalisateur
Damiano Damiani
Damiano Damiani est né en 1922 à Pasiano. Dessinateur de bandes dessinées, peintre, il passe au cinéma dès la fin de la guerre et travaille comme scénariste et documentariste. Puis, à partir des années 60, il signe une douzaine de longs métrages dans les registres les plus divers. L'éclectisme de Damiano Damiani a certainement entraîné les critiques en mal de classification à distinguer deux étapes dans sa filmographie. La première serait essentiellement composée de films "psychologiques" caractérisés par une approche attentive, un traitement pudique de l'affectivité de ses personnages. Citons entre autres Jeux précoces (1959), L'Ile des amours interdites (1962), L'Ennui (1963).
Sa seconde période (fin des années 60-début 70) se centrerait davantage sur des problèmes politiques avec des films tels que La Mafia fait la loi (1968), Confession d'un commissaire de police au procureur de la République (1971), Nous sommes tous en liberté provisoire (1971). Manquent bien sûr à cette présentation El Chuncho (1965), l'un des meilleurs exemples du western politique italien et Un génie, deux associés et une cloche (1975), parodie savoureuse des spaghetti-westerns de Sergio Leone.