C’est une sorte de pamphlet sur l’évolution des mœurs et les rapports masculin-féminin. Il emprunte ses formes surprenantes au surréalisme et même à Georges Méliès, inventeur du cinéma de fiction qui aurait pu faire sienne cette remarque de Claude Maurin : "Pour moi en tant que réalisateur, le cinéma s’appuie sur un paradoxe qui consiste à poursuivre un fantasme dans la réalité."
27 octobre 2013, 16:00
Corum - Salle Einstein
Séance hommage en présence du réalisateur.
Fiche Technique
Pays | France |
Année de production | 1966 |
Durée | 00:14 |
Catégorie(s) | Fiction |
Scénario | |
Image | |
Montage | |
Musique | René Giner |
Son | |
Interprète(s) | |
Production | |
Décor | |
Version | VOFR |
Réalisateur
Claude Maurin
Dans les années cinquante, au croisement de la rue des Deux-Ponts et de la rue des Aiguerelles à Montpellier, existait un lieu magique, le Plateau 53, fondé par le peintre Jean Neuberth et Régine Lacroix. C’est là devant les Laurel et Hardy et Buster Keaton que naquit la vocation de cinéaste de Claude Maurin. Il s’initie ensuite aux techniques du cinéma auprès de son maître Jean Malige. Il réalise une série de courts métrages de fiction puis fonde en 1984 une structure de production, les Films du Caducée, consacrée aux films industriels, scientifiques et médicaux. En 1993, il obtient le grand prix du Festival de Biarritz pour Verre Christian Dalloz.